Un jour, alors que je le transportais dans une éprouvette pour le remettre dans son bocal fraîchement rempli d'eau propre et claire, le poisson rouge sauta par-dessus bord, effectuant un saut périlleux, pour atterrir derrière un vieux radiateur.
Prise de panique, j'eus d'abord toutes les peines du monde à le localiser, n'étant pas parvenue à suivre sa trajectoire de manière précise.
Je le cherchais partout, autour du lavabo, du radiateur. La lumière était faible et l'espace restreint.
Je l'aperçus enfin.
"Comment le rattraper?"
Je le voyais qui frétillait. Mon cœur battait à tout rompre.
"Non, il ne faut pas qu'il meurt. Pas ici, pas maintenant. Je ne supporterais plus de vivre dans cet appartement."
Je tentais de le récupérer avec un double-décimètre, à genoux, la joue gauche collée contre une moquette d'une propreté douteuse. J'agitais ma règle et regardais impuissante, le poisson rendre son dernier souffle.
Il était trop tard. Le malheureux gisait sans vie, sous les barreaux de fonte du vieux calorifère, avec pour seule compagnie, les moutons résistant vaillamment à l'appel de l'aspirateur.
Je pus alors le récupérer sans peine, son corps était maintenant dur et froid.
Que faire de lui?
Le suite de l'histoire est à lire ici: clic !
Et le début là: clac !
Photographie: GiviKat
Prise de panique, j'eus d'abord toutes les peines du monde à le localiser, n'étant pas parvenue à suivre sa trajectoire de manière précise.
Je le cherchais partout, autour du lavabo, du radiateur. La lumière était faible et l'espace restreint.
Je l'aperçus enfin.
"Comment le rattraper?"
Je le voyais qui frétillait. Mon cœur battait à tout rompre.
"Non, il ne faut pas qu'il meurt. Pas ici, pas maintenant. Je ne supporterais plus de vivre dans cet appartement."
Je tentais de le récupérer avec un double-décimètre, à genoux, la joue gauche collée contre une moquette d'une propreté douteuse. J'agitais ma règle et regardais impuissante, le poisson rendre son dernier souffle.
Il était trop tard. Le malheureux gisait sans vie, sous les barreaux de fonte du vieux calorifère, avec pour seule compagnie, les moutons résistant vaillamment à l'appel de l'aspirateur.
Je pus alors le récupérer sans peine, son corps était maintenant dur et froid.
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Photographie: GiviKat